Au sein d’une entreprise, il y a plusieurs virus qui viennent influencer négativement ou positivement le climat de travail. Bien entendu, ces virus sont hautement contagieux et se transmettre sans contact entre les gens. La liste des virus ayant une influence négative est :
- l’absentéisme,
- le présentéisme,
- la résistance aux changements,
- l’individualisme,
- le « je m’en foutisme »,
bref la lâcheté.
Ces virus viennent influencer négativement le climat de travail et, par conséquent, nuisent à la productivité.
À l’inverse, nous retrouvons des virus qui ont un impact positif sur le climat de travail d’une entreprise et qui font croître significativement la productivité. Ces virus sont :
- l’enthousiasme,
- le dynamisme,
- la collaboration,
- le plaisir,
- l’acceptation,
bref, le courage. En complément, nous vous invitons à lire cet article sur Jobboom
Un climat de travail contagieux
Nous pouvons voir qu’autant la lâcheté que le courage sont contagieux et viennent influencer le climat de travail et, par le fait même, la productivité dans votre entreprise. Pour démarrer une épidémie, il ne s’agit que d’avoir une seule personne qui porte un de ces virus pour que le climat de travail ne soit mise en quarantaine. Vous vous en doutez certainement, ceci est loin d’être de la théorie. Tout ça se passe actuellement dans les organisations.
Si une telle épidémie surgit dans votre entreprise, il faut du courage pour l’enrayer. Ne vous laissez pas influencer par la routine, ne prenez pas de raccourcis, ayez du courage, devenez un agent de changement et des forces insoupçonnées vous guideront.
Le changement fait peur
La majorité des gens n’aime pas la routine, c’est trop monotone qu’on dit. La majorité des gens n’aime pas le changement. Le changement fait peur et nous résistons. Alors si nous n’aimons ni la routine et ni le changement, nous aimons quoi ? Éteindre des feux ?
Chez Groupe Humaprise, nous formons des agents du changement, c’est-à-dire que les gens incorporent le changement dans leur routine. Ce changement est provoqué par la recherche d’un équilibre meilleur ou d’une plus grande rentabilité de l’entreprise.
Pour y parvenir, il importe de déterminer avec précision ce que nous souhaitons atteindre. Il s’agit de bien définir où nous voulons être dans 3, 5 ou 10 ans, ce que nous voulons faire, ce que nous aimons et n’aimons pas, et ainsi de suite.
Une fois cet exercice complété, il ne reste plus qu’à déterminer quelles seront les actions à faire pour s’y rendre et à les inclure dans notre quotidien.
Prenons un exemple bien simple. Un gestionnaire cherche à améliorer ses connaissances sur une technique propre à sa discipline. Pendant ses temps de repas au bureau, au lieu de lire les nouvelles du sport, il pourra inclure de lire 10 pages par jour d’un livre sur les techniques qu’ils souhaitent améliorer. Rapidement, ses connaissances vont s’améliorer et au bout d’une année, en agissant de la sorte, il pourra avoir lu plusieurs livres traitant des différentes techniques. Dans sa routine, il a agi en tant qu’agent du changement et après plusieurs journées de cette routine, il est fort à parier que ce gestionnaire aura acquis un niveau de connaissance très élevé et que son objectif d’améliorer ses connaissances sera atteint … sans résistance et sans crainte.
Pour reprendre les propos de Éric Thomas, un gourou de la motivation aux États-Unis, quels sacrifices je suis prêt à faire aujourd’hui pour être la personne que je veux être demain? Comme ce gestionnaire, est-ce que je suis prêt à sacrifier le fait d’être moins « savant » dans le domaine du sport pour être plus connaissant dans mon travail ?
Avec cette manière de faire, la routine n’est pas monotone et il n’y a certainement pas de résistance face aux changements. La routine entraîne le changement et nous dirige vers une vie meilleure.
Travailler l’attitude
En conclusion, dans son livre « Devenez une personne d’influence », John C. Maxwell prend bien soins de démontrer que l’attitude est d’une importance capitale vers la réussite. Si notre attitude est que nous avons un sentiment de succès dans notre vie personnelle, nous allons réussir en affaires, mais ce n’est pas parce que l’on réussit en affaires que nous avons le sentiment de réussir notre vie personnelle.
Notre attitude entraîne également des actions face aux autres ou envers nous-mêmes. Si nous sommes envahis par le sentiment de succès, autant personnel que professionnel, nos actions seront :
- On se sacrifie pour réussir
- On cherche des moyens de gagner
- On devient énergétique
- On suit le plan stratégique
- On aide les autres membres de l’équipe
Inversement, si nous sommes habités par un sentiment d’échec, notre comportement sera :
- On en fait le moins possible
- On cherche des excuses
- On devient fatigué
- On laisse tomber le plan stratégique
- On blesse les autres
Source John C Maxwell : devenez une personne d’influence p.94 (2008)
Pour une formation vous permettant d’améliorer le climat de travail, contactez-nous au 819-770-9332 ou par courriel à info@groupehumaprise.com. Nous sommes en affaires depuis 1987 et nous avons assisté plus de 300 propriétaires d’entreprise dans cette démarche.
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